Alibi puis Alibi Maurice

 

Références bibliographiques:

• Eychenne (Emilienne). Les fougères de la liberté, Toulouse, éditions Milan, 1987, 339 p.

 

• Laharie (Claude). Notes de travail. Pau, 2013

D’abord Alibi, puis Maurice.  Réseau de renseignements créé par le Palois Georges Charandeau, le 1er juillet 1940 et qui a fonctionné pendant toute la durée de l’Occupation. En relations avec l’I.S. et le S.O.E. Il s’étend sur toute la France, comme Alliance, de Paris à Madrid.

Nombreuses ramifications régionales. Sa structuration cloisonnée et étanche est considérée comme le modèle-type d’organisation des réseaux.

Environ 450 membres et seulement 15 morts en déportation ou fusillés, les premiers liés aux exactions du groupe Lafont-Bonny de la rue Lauriston.

Fusion avec le réseau Maurice en avril 1944.

 

• Poullenot (Louis). Basses-Pyrénées. Occupation. Libération. 1940-1945. J & D Editions. Biarritz. 1995. 366 p.

– p. 61-63 : Réseau S.O.E. de passage vers l’Espagne.

Créé dès le 1er juillet 1940 par Georges Charaudeau.

Organigramme.

Liste des agents départementaux. Parmi eux, Albert Barcos (déporté, revenu), Georges Debout, Georges Charaudeau père (mort en déportation), François Récaborde (déporté, revenu), Henri Soubiran (mort en déportation), etc.

Pour en savir plus:

Historique du réseau Alibi